Nous avons évoqué à plusieurs reprises le projet de parc hydrolien d’EDF au large de Paimpol-Bréhat et l’assemblage par DCNS-Brest de la première hydrolienne OpenHydro (*) – société irlandaise choisie par EDF -. ( lire l’article du blog des énergies de la mer du 20/07/2011).
Le réalisation de l’hydrolienne test – 1ère d’une série de quatre - a été assemblée au cours de l’été par DCNS Brest dans son bassin n°9 (relire les articles du blog du 19/07/211 26/07/2011) est destinée à être immergée au large de Paimpol-Bréhat ( Ploubazlanec), dans les Côtes-d'Armor.
Elle doit quitter aujourd’hui le port de Brest pour cette série de tests sur site, avant de déboucher, d’ici à la fin 2012, sur l'ouverture du premier parc hydrolien français, un projet de 40 millions d'euros. Sa puissance globale devrait avoisiner deux mégawatts, soit l'équivalent des besoins en électricité de 3.000 foyers.
Les concepteurs du projet rappelle dans les colonnes du Télégramme que «cette opération ne donnera lieu à aucun forage, ni ancrage, le poids des machines étant suffisant pour assurer leur stabilité. La pose n'aura pas d'impact sur le milieu marin.» Pour EDF il est essentiel que « l'hydrolienne perturbe le moins possible la faune marine: le centre de la turbine a même été évidé pour permettre aux poissons et aux mammifères marins de passer en son centre ».
Brigitte Bornemann, gérante de 3B Conseils et fondatrice des blogs science et éthique, blog des énergies de la mer et du portail mer-veille, participe aujourd’hui au lancement de cette opération. Vous pourrez consulter dès demain ses impressions sur le blog des énergies de la mer.
(*) l'hydrolienne test en quelques mots :
16 m de diamètre et 1.000 t , assemblée sur le site industriel de DCNS à Brest. La turbine a été construite à Greenore, en Irlande, par OpenHydro. Ses pales en résine ont été réalisées par DCNS-Lorient.
C'est aussi ce groupe de construction navale qui a hérité des opérations d'assemblage des différents composants et de l'énorme tripode qui supporte la turbine.
Elle sera acheminée sur sa barge jusqu'au site de Paimpol-Bréhat, et immergée à 30 m de profondeur. Des tests en conditions réelles seront effectués afin de tester ses performances avant son raccordement au réseau. Trois autres engins seront installés en 2012, permettant à terme l'alimentation en électricité de 2.000 à 3.000 foyers.
Article RH 3B Conseils
Sources : blog énergies de la mer / Télégramme
Photo DCNS
Le réalisation de l’hydrolienne test – 1ère d’une série de quatre - a été assemblée au cours de l’été par DCNS Brest dans son bassin n°9 (relire les articles du blog du 19/07/211 26/07/2011) est destinée à être immergée au large de Paimpol-Bréhat ( Ploubazlanec), dans les Côtes-d'Armor.
Elle doit quitter aujourd’hui le port de Brest pour cette série de tests sur site, avant de déboucher, d’ici à la fin 2012, sur l'ouverture du premier parc hydrolien français, un projet de 40 millions d'euros. Sa puissance globale devrait avoisiner deux mégawatts, soit l'équivalent des besoins en électricité de 3.000 foyers.
Les concepteurs du projet rappelle dans les colonnes du Télégramme que «cette opération ne donnera lieu à aucun forage, ni ancrage, le poids des machines étant suffisant pour assurer leur stabilité. La pose n'aura pas d'impact sur le milieu marin.» Pour EDF il est essentiel que « l'hydrolienne perturbe le moins possible la faune marine: le centre de la turbine a même été évidé pour permettre aux poissons et aux mammifères marins de passer en son centre ».
Brigitte Bornemann, gérante de 3B Conseils et fondatrice des blogs science et éthique, blog des énergies de la mer et du portail mer-veille, participe aujourd’hui au lancement de cette opération. Vous pourrez consulter dès demain ses impressions sur le blog des énergies de la mer.
(*) l'hydrolienne test en quelques mots :
16 m de diamètre et 1.000 t , assemblée sur le site industriel de DCNS à Brest. La turbine a été construite à Greenore, en Irlande, par OpenHydro. Ses pales en résine ont été réalisées par DCNS-Lorient.
C'est aussi ce groupe de construction navale qui a hérité des opérations d'assemblage des différents composants et de l'énorme tripode qui supporte la turbine.
Elle sera acheminée sur sa barge jusqu'au site de Paimpol-Bréhat, et immergée à 30 m de profondeur. Des tests en conditions réelles seront effectués afin de tester ses performances avant son raccordement au réseau. Trois autres engins seront installés en 2012, permettant à terme l'alimentation en électricité de 2.000 à 3.000 foyers.
Article RH 3B Conseils
Sources : blog énergies de la mer / Télégramme
Photo DCNS