mercredi 20 février 2008

L'Année Internationale de la Planète Terre est lancée...

NEW YORK - 20/02//2008 - L'Année Internationale de la Planète Terre a débuté en Janvier 2007 et s'achevera en décembre 2009. Les Nations Unies ont proclamé 2008, année majeure de ce triennium. Les Nations Unies considèrent l'Année Internationale de la Planète Terre (abrégée IYPE pour International Year of Planet Earth) comme une contribution à ses objectifs dans le domaine du Développement Durable. L'Année Internationale de la Planète Terre se concentre sur des enjeux qui sont au coeur de l’actualité et de notre avenir commun : la protection de notre Planète et l’utilisation réfléchie de ses ressources. L’« Année » vise ainsi la mise en valeur, auprès du grand public, de la connaissance de notre planète dans les domaines d’activité où le besoin s’en fait le plus sentir : l’environnement, la santé, la gestion des ressources, la qualité de vie.
L'Année Internationale de la Planète Terre appelle les scientifiques à travailler sur dix grands thèmes particulièrement pertinents pour l’humanité : la santé, le climat, les eaux souterraines, les océans, les sols, les profondeurs de la Terre, les mégalopoles, les risques naturels, les ressources naturelles et la vie.
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Ethique : les doutes scientifiques de la Russie

TIOUMEN (AFP) - 20/02/2008 - Le scepticisme sur l'origine humaine du réchauffement climatique est bien ancré dans la communauté scientifique russe, à contre courant des appels à la réduction des émissions de gaz à effet de serre dont la Russie est le 3e producteur mondial. "L'on voudrait bien sûr lier l'activité de l'Homme au réchauffement et surtout à ce que l'on dit sur la fonte du permafrost", lance dans son bureau de Tioumen en Sibérie occidentale, l'académicien Vladimir Melnikov.
"C'est un mythe !", poursuit le directeur de l'Institut de la cryosphère terrestre, spécialiste du permafrost, sol perpétuellement gelé présent sur 65% de la surface de la Russie. Le Groupe intergouvernemental d'experts sur le changement climatique (Giec), qui réalise la plus vaste expertise internationale en la matière, a mis en garde en novembre contre les conséquences "soudaines", voire "irréversibles" du réchauffement dû selon lui à la production humaine de gaz à effet de serre.
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