jeudi 31 janvier 2008

Qui est propriétaire de la vie ?

QUEBEC (Canada) - 31/01/08 - A la suite de l'annonce il y a quelques jours de la nouvelle selon laquelle le scientifique Craig Venter (celui qui avait fait scandale en 2001 en proposant de déposer un brevet sur le génome humain) ne serait plus qu’à un pas de réaliser son projet de « vie artificielle », les commentaires necessent de se multiplier dans la communauté scientifique. Oscillant entre admiration et effroi, on ne ne sait plus vraiment à quoi s'en tenir. Le magazine canadien francophone Science-Presse consacre aujourd'hui un article en deux volets à ce sujet en reposant la question de la propriété de la vie...
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Ethique : controverse autour de la réforme de la recherche en France

PARIS (AFP) - 31/01/008 - La réforme de la recherche en France, qui a suscité des espoirs dans la communauté scientifique, fait désormais l'objet de nombreuses critiques visant notamment le rôle du CNRS, appelé à perdre une partie de ses prérogatives. " Ce n'est pas à un organisme si grand, si respecté et si puissant soit-il de définir la politique scientifique de notre pays ", a déclaré cette semaine Nicolas Sarkozy, lors d'un discours en l'honneur du prix Nobel de physique 2007 Albert Fert. Le chef de l'Etat, qui a répété qu'il voulait porter l'effort de recherche à 3% du PIB d'ici 2012 grâce à 15 milliards d'euros supplémentaires dont 4 milliards à la charge de l'Etat, a ajouté qu'il appartient au gouvernement et au parlement " d'attribuer l'argent public et de fixer les orientations stratégiques ". Interrogé par l'AFP, M. Fert s'est dit en désaccord sur ce point avec le président. " Il manque un maillon dans le raisonnement qui dit que le ministère définit des priorités et ensuite les universités opèrent la recherche ", a-t-il jugé, ajoutant que " le CNRS a un rôle important, que c'est un outil qui fonctionne ".
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Erika : l'Etat ne fait pas appel

PARIS (AFP) - 31/011/08 - L'Etat, qui était partie civile dans le procès du naufrage de l'Erika, a décidé ne pas faire appel du jugement rendu à Paris le 16 janvier, estimant que la décision lui était "favorable", a annoncé mercredi son avocat, Me Benoît Chabert. L'Etat a obtenu environ 153 des 192 millions d'euros de dommages et intérêts auxquels ont été condamnés solidairement le groupe pétrolier Total avec le propriétaire, le gestionnaire et la société de classification de l'Erika. " L'agent judiciaire du Trésor ayant obtenu l'intégralité de ses demandes devant le tribunal n'a aucune raison d'interjeter appel d'une décision qui lui était favorable ", a déclaré Me Chabert. Malgré cela, l'Etat sera présent au second procès pour demander la confirmation de la sanction pénale.
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