mercredi 16 janvier 2008

Pollution : l'affaire Erika, un jugement crucial rendu aujourd'hui

PARIS (Reuters) - 16/01/08 - Le jugement qui sera rendu ce mercredi par le tribunal correctionnel de Paris dans le procès du naufrage du pétrolier Erika, survenu au large de la Bretagne il y a huit ans, aura d'importantes conséquences juridiques pour l'industrie pétrolière et le monde de la mer. Pour la première fois, la France juge une affaire de pollution maritime de cette dimension et tranche la responsabilité éventuelle d'un affréteur, ici Total, première société française et 4e groupe pétrolier privé mondial....
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L'Australie somme le Japon de cesser la chasse à la baleine dans ses eaux

SYDNEY (AFP) - 16/01/08 - La justice australienne a ordonné mardi au Japon d'arrêter de chasser la baleine dans ses eaux territoriales et en particulier dans celles déclarées "zones sanctuaires" pour les cétacés. Cet arrêt survient alors qu'une flotte de baleiniers japonais est en campagne en Antarctique pour y tuer un millier de baleines suscitant l'ire de l'Australie en pointe du combat contre ce type de chasse. Saisi par l'organisation Humane Society International, le tribunal fédéral de Sydney a conclu que la compagnie japonaise Kyodo Senpaku Kaisha Ltd avait enfreint les lois australiennes en chassant baleines et rorquals dans une zone australienne protégée en Antarctique.
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Ethique : Le pape n'est pas le bienvenu dans une enceinte universitaire

ROME (AFP) - 16/01/08 - Benoît XVI a annulé mardi la visite qu'il devait effectuer jeudi à l'université La Sapienza de Rome à l'invitation du recteur, cédant aux protestations qui se sont élevées dans le milieu universitaire contre l'intervention d'un pape dans une "enceinte laïque". Cette reculade totalement inédite est survenue après plusieurs jours d'effervescence et de polémiques sur l'opportunité de la présence du chef de l'Eglise catholique à la cérémonie d'ouverture de l'année académique à La Sapienza, la plus importante université d'Italie et même d'Europe. Un collectif d'enseignants du département de physique ainsi que des groupes d'étudiants radicaux avaient estimé que la présence du chef de l'Eglise catholique en cette circonstance aurait été une violation de la laïcité et de l'autonomie multiséculaire de l'Université...
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